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"Les jeunes des zones rurales sont l'avenir de la sécurité alimentaire et de la réduction de la pauvreté rurale. Ils sont aussi le présent, car le nombre actuel d'adolescents et de jeunes est sans précédent, 1,8 milliard de personnes âgées entre 10 et 24 ans, qui, pour la plupart, vivent dans les pays les moins développés et dans des zones rurales. Cependant, ces jeunes des zones rurales de pays en développement rencontrent d'énormes difficultés pour se préparer et accéder à un travail décent, y compris dans le secteur agricole. Ces problèmes sont encore plus graves pour les jeunes de moins de 18 ans. Cette consultation en ligne vous invite à suggérer des solutions qui pourraient résoudre ces problèmes. Vos contributions permettront d'informer les recommandations politiques et programmatiques qui devront émaner de la réunion internationale d'experts « Jeunes - Nourrir l'avenir: Résoudre les enjeux auxquels sont confrontés les jeunes de 15 à 17 ans des zones rurales pour se préparer et accéder à un travail décent » qui sera tenu par la FAO dans le courant de l'année. Certains participants à la consultation en ligne pourraient également être invités à participer à la réunion d'experts. (Voir note thématique et formulaire de demande de participation)"

"Morocco has a population of about thirty million inhabitants, 45 percentage of who live in rural areas. This rate has been declining steadily for the past fifty years, though the rural exodus rate seems to have slowed down over the past decade. With a population growth rate that has also slowed down (1.4 percentage per year), the country is going through a demographic transition, or 'demographic windfall', with a significant increase in the working population estimated at 11.2 million people in 2005. On the whole, agriculture employs 43 percentage of the economically active population, but this rate goes up to 80 percentages in rural areas. Keeping in mind the 'entries' and 'exits' from the work force, the additional number of the individuals able to work was estimated in 2005 at 460,000 people, and the additional number of jobseekers is estimated at 380,000 per year for the next ten years. "

La Commission européenne a approuvé aujourd'hui 24 programmes de développement rural supplémentaires visant à améliorer la compétitivité du secteur agricole de l'Union, à préserver les campagnes et le climat, et à renforcer le tissu économique et social des communautés rurales pour la période allant jusqu'en 2020. Les programmes adoptés aujourd'hui devraient permettre de créer plus de 40 000 emplois dans les zones rurales et environ 700 000 places de formation. L'objectif est d'encourager l'innovation, le transfert de connaissances, des pratiques agricoles plus durables et une meilleure compétitivité des entreprises rurales. Le financement bénéficiera de 27 milliards d'euros provenant du budget de l'Union ainsi que d'un financement public au niveau national/régional et/ou de fonds privés.

Les jeunes des zones rurales sont l'avenir de la sécurité alimentaire et de la réduction de la pauvreté rurale. Cependant, ces jeunes des zones rurales de pays en développement rencontrent d'énormes difficultés pour se préparer et accéder à un travail décent, y compris dans le secteur agricole. Ces problèmes sont encore plus graves pour les jeunes de moins de 18 ans. ette consultation en ligne vous invite à suggérer des solutions qui pourraient résoudre ces problèmes. Vos contributions permettront d'informer les recommandations politiques et programmatiques qui devront émaner de la réunion internationale d'experts « Jeunes - Nourrir l'avenir: Résoudre les enjeux auxquels sont confrontés les jeunes de 15 à 17 ans des zones rurales pour se préparer et accéder à un travail décent » qui sera tenu par la FAO dans le courant de l'année.

"Selon le Rapport sur le développement rural 2016, les petites exploitations continuent d'assurer la subsistance de 2,5 milliards de personnes et 80 % des denrées alimentaires produites en Asie et en Afrique subsaharienne. Le rapport relève que, dans un monde en rapide mutation, les zones rurales doivent se transformer, et vite, pour pouvoir s'intégrer à des économies dynamiques et contribuer à a prospérité mondiale. "

"Au Mali, 18 000 jeunes arrivent sur le marché du travail chaque année. La situation économique en milieu rural les pousse à migrer vers les villes ou l'étranger où trouver un emploi s'avère une gageure tout aussi grande. Ce constat a conduit les pouvoirs publics à mettre en place une politique nationale de formation professionnelle agricole et rurale pour lutter contre l'exode rurale. Les MFR participent à cet effort. "

Métier:Ingénierie du développement - Agronomie et développement rural Intitulé du poste: Chargé(e) de projets H/F Contrat :VIA/VSC Durée du contrat: 1 an renouvelable Description de la mission: Un poste de Volontaire International (VI) est à pourvoir à partir de février 2015 au sein de l'agence AFD d'Abuja (NIGERIA). Sous l'autorité du Directeur et du Directeur Adjoint de l'Agence d'Abuja, le/la titulaire du poste aura pour mission principale le suivi du portefeuille de projets de l'AFD auprès de la CEDEAO (Communauté Economique des Etats de l'Afrique de l'Ouest), mais pourra aussi apporter un appui sur les projets de développement rural menés au niveau national. Il/elle sera amené(e) à assurer l'intérim de la Chargé(e) de missions Eau-Développement Rural."

Le Bureau international du travail a publié en octobre un rapport sur l'emploi rural en Amérique latine et dans les Caraïbes. Le document dresse un panorama de l'emploi agricole et non-agricole et de ses principales évolutions (à noter des statistiques par pays en annexe), avant de proposer des orientations politiques pour un meilleur développement.

"L'insertion socio-économique des jeunes ruraux en Afrique : contraintes et perspectives. « L'agriculture et la jeunesse face à la transformation du monde rural » : Quels sont les modèles de développement de l'agriculture susceptible de générer des emplois ? Quelle place de l'agriculture familiale en matière de création d'emplois, dans le maintien des jeunes dans les zones rurales et plus largement dans la sécurité alimentaire ?"

"(FAO) - La FAO et le Nouveau partenariat pour le développement de l'Afrique (NEPAD) unissent leurs forces en vue d'améliorer les opportunités commerciales et d'emplois des jeunes en milieu rural au Bénin, au Cameroun, au Malawi et au Niger, et ce, grâce à un don de 4 millions de dollars octroyé par le Fonds fiduciaire de solidarité africain."

"Le ministre du Tourisme et des Transports aériens, Oumar Guèye, a appelé samedi les jeunes de Sangalkam (Ouest) à explorer les possibilités d'auto-emploi dans l'agriculture, qui "peut être une solution au chômage". "Il faut que les jeunes au chômage sachent qu'un emploi n'est pas forcément salarié. Aujourd'hui, l'auto-emploi peut être développé au Sénégal. Il y a 350 hectares de l'Institut sénégalais de recherches agricoles (ISRA) qui sont actuellement en friche", a dit M. Guèye lors d'un forum sur l'emploi. "Les financements et les terres sont disponibles pour les jeunes qui sont intéressés par l'agriculture", a ajouté Oumar Guèye, ancien président de la communauté rurale de Sangalkam. Les jeunes doivent réfléchir à des projets agricoles, puisque "le président de la République souhaite que l'agriculture devienne un facteur de développement de notre pays", a-t-il affirmé. Il a recommandé aussi aux jeunes de Sangalkam de s'intéresser à l'aviculture. "Sangalkam est une zone avicole, un secteur où l'offre est inférieure à la demande, au Sénégal. Certains pays de la sous-région comptent sur le nôtre pour avoir des approvisionnements. Les jeunes peuvent donc investir dans l'aviculture", a ajouté M. Guèye."

La région de Marrakech-Tensift-Al Haouz regroupe des territoires très variés : plaines, plateaux, zone littorale d'Essaouira et hautes montagnes de l'Atlas. L'agriculture y occupe la moitié de la population active. Avec le tourisme, c'est l'une des deux activités économiques principales. Malgré la présence de la métropole de Marrakech, la jeunesse qui y vit est plus rurale qu'urbaine. Les jeunes ruraux de cette région qui occupent un emploi sont en majorité aides familiaux. Ce statut particulier consiste à aider un membre de sa famille dans son travail non salarié sans être payé. La fin de scolarité de ces jeunes est plus précoce, surtout pour les jeunes femmes. En effet, les trois quarts d'entre elles ont quitté l'école avant douze ans, alors que c'est le cas de 40% des jeunes ruraux qui occupent un emploi rémunéré.

"Contrary to conventional economic theories, the relationship between income growth and agricultural employment is extremely diverse, even among regions starting from similar levels of development, such as Asia and Africa. Due to its labor-intensive green revolution and strong farm-nonfarm linkages, Asia's development path is mostly characterized by fast growth with relatively slow agricultural exits. In contrast to Asia, urban biased policies, low rural population density, and high rates of population growth have led a number of African countries down a path of slow economic growth with surprisingly rapid agricultural exits. Despite this divergence both continents now face daunting employment problems. Asia appears to be increasingly vulnerable to rising inequality, slower job creation, and shrinking farm sizes, suggesting that Asian governments need to refocus on integrating smallholders and lagging regions into increasingly commercialized rural and urban economies. Africa, in contrast, has yet to achieve its own green revolution, which would still be a highly effective tool for job creation and poverty reduction. However, the diversity of its endowments and its tighter budget constraints mean that agricultural development strategies in Africa need to be highly context specific, financially sustainable, and more evidence- based"

"L'ISRA envisage d'expérimenter des Centres de formation pratique aux métiers agricoles (CFPMA) dans plusieurs de ses sites, pour permettre aux acteurs locaux d'être accompagnés par des techniciens en agriculture. L'annonce a été faite par son Directeur général, le Dr Macumba Diouf. En réponse à une interpellation des députés par rapport au rôle de son institut dans la lutte contre le chômage des jeunes, il a révélé que « ces centres permettront de favoriser l'auto-emploi dans le milieu rural ». Car « à l'issue de la réhabilitation et de l'ouverture des centres et stations de l'ISRA, nous avons demandé à l'Etat que les jeunes qui sont sur place puissent être accueillis dans ces centres et être formés aux techniques modernes de l'agriculture », a-t-il expliqué. Et de marteler : « notre présence au Sénégal doit servir à créer des emplois »."

"Darou Ndoye (Thiès), 16 mars (APS) - Le ministère de l'Agriculture et de l'Equipement rural compte aménager 345 fermes agricoles, qui vont générer environ 60 mille emplois, a annoncé dimanche Papa Abdoulaye Seck. Les jeunes trouveront des "emplois bien rémunérés" dans les futures fermes, qui vont fournir au Sénégal des produits agricoles et lui permettre d'en exporter vers d'autres pays, selon M. Seck. "

"Située à une quinzaine de kilomètres de Tunis, Sidi Amor est une propriété collective de quatre hectares sur laquelle de nombreux savoirs-faire sont expérimentés. Construction écologique en terre, recyclage, distillation d'huiles essentielles, plantes médicinales, agroforesterie, agriculture biologique... Autant d'axes de développement pour créer des emplois locaux. Avec en toile de fond, le souci de déployer des techniques accessibles aux populations rurales du pays. Petite visite dans un écovillage en construction."

Avec 50 à 70 % des jeunes dans les zones rurales des pays du Sud, le secteur agricole est un bassin d'emploi crucial pour les jeunes. Face au triple défi climatique, économique, démographique auquel ils sont confrontés, le CTA soutient l'engagement des jeunes dans les emplois verts dans les pays ACP.

"Agence Ecofin) - Au Sénégal, l'Agence nationale d'insertion et de développement agricole (ANIDA) vise la création de 40 000 emplois, à l'horizon 2018. L'institution compte atteindre cet objectif par l'implantation de 402 exploitations villageoises. "

"Il n'y aura pas de croissance durable et diversifiée en Afrique « sans croissance soutenue de l'agriculture, qui renforce l'emploi », estime l'expert de l'Organisation internationale du travail (Oit) Philippe Egger, dans un éditorial. Parmi les solutions avancées, Philippe Egger évoque la nécessité d'augmenter la production alimentaire à l'hectare et insiste sur une stratégie de « priorité à l'agriculture », favorisant notamment une moindre dépendance aux importations. « Cela protègerait l'Afrique des aléas de la volatilité des prix des denrées alimentaires et permettrait de relever le niveau des revenus dans les régions rurales », peut-on lire dans le communiqué de l'institution. Car les importations de nourriture ont augmenté de 3,4 % par an depuis 1980, en majorité des céréales, peut-on lire. "

"La problématique de l'insertion des jeunes dans le secteur agricole était au cœur des échanges lors du deuxième séminaire « Fenêtre sur l'agriculture » organisé, vendredi, par la Fao et l'Ipar. Pour les panélistes, l'insertion économique des jeunes demandeurs d'emploi passe par une bonne articulation entre la politique agricole et celle de l'emploi. Quels sont les liens entre la politique agricole du Sénégal et la politique de l'emploi ? Cette question a fait l'objet de riches échanges entre les participants au deuxième séminaire-débat « Fenêtre sur l'agriculture » qu'organise périodiquement l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (Fao), en partenariat avec l'Initiative prospective agricole et rurale (Ipar)."